L'Armée britannique accélère la distribution de ses services et améliore l'expérience utilisateur

La division IAS de l'Armée britannique rencontrait des problèmes d'assistance, de performances et de disponibilité. Pour les résoudre, elle n'avait pas d'autre choix que d'abandonner son environnement de cloud privé Oracle. Le système entraînait en effet des temps d'arrêt non prévus pendant les mises à niveau, perturbait l'expérience utilisateur et ralentissait le déploiement des mises à jour. « La distribution de services se veut de plus en plus rapide. », explique le lieutenant- colonel Dorian Seabrook, responsable des opérations auprès de la division IAS de l'Armée britannique. « Pour répondre à ces exigences, il nous était primordial d'améliorer non seulement la distribution de nos logiciels, mais également notre infrastructure sous-jacente, nos mises à niveau, nos opérations de maintenance et notre service d'assistance. »

L'IAS a décidé de troquer son environnement Oracle Linux contre la plateforme Red Hat Enterprise Linux®, passant ainsi d'une infrastructure physique à un datacenter logiciel. Pour rationaliser la gestion de son nouvel environnement, l'IAS s'est tourné vers Red Hat Ansible Automation Platform, une plateforme d'automatisation et d'orchestration, ceci afin d'améliorer la cohérence, de réduire le nombre d'erreurs manuelles et d'encourager une approche DevOps de la prestation de services. « Nous étions en pleine refonte de notre modèle d'exploitation et nous voulions être en mesure de déployer plus rapidement et plus efficacement nos logiciels pour répondre aux attentes des utilisateurs », indique Dorian Seabrook.

Logiciels et services

• Red Hat Ansible Automation Platform
• Red Hat Enterprise Linux®
• Module complémentaire Red Hat Enterprise Linux Resilient Storage Add-On

Grâce à son nouveau système, l'IAS profite d'un outil de gestion plus simple et plus précis qui réduit les délais d'application des correctifs et limite considérablement les erreurs de lancement ainsi que les problèmes de configuration. De plus, les mises à niveau qui duraient auparavant toute une journée (et entraînaient plusieurs heures d'arrêt du système chaque mois) ne durent aujourd'hui que deux heures et n'affectent plus la disponibilité des services. Une modification prend donc en moyenne 75 % moins de temps. « Nous avons pu abandonner les déploiements groupés, qui entraînaient de longs arrêts de services particulièrement frustrants pour nos utilisateurs, au profit d'un déploiement progressif », poursuit Dorian Seabrook.